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Office Congolais de Contrôle "OCC"
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Gaby LUBIBA MAMPUYA, DG OCC, à la conférence publique de la SADC tenue à Kinshasa sur l’industrialisation régionale.

13 août 2022
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Gaby LUBIBA MAMPUYA, DG OCC, à la conférence publique de la SADC tenue à Kinshasa sur l’industrialisation régionale.
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« Qu’il s’agisse de l’industrialisation par intégration sectorielle, de l’industrialisation par la promotion des exportations ou de l’industrialisation par la substitution des importations, l’usage stratégique de la norme, instrument de travail de l’OCC par excellence, demeure une des solutions incontournables. »

Excellences Mesdames et Messieurs les Ministres ;
Mesdames et Messieurs les Directeurs Généraux et Chers Collègues ;
Mesdames et Messieurs ;
Distingués Invités ;

Suivant les termes de l’invitation qui nous a été adressée, il est question que nous puissions sensibiliser les participants et le public sur les avantages de la mise en œuvre de la politique publique d’industrialisation de notre région. J’ose croire et penser que nous sommes tous convaincus de l’importance de l’industrialisation, et donc des avantages qu’elle confère. A partir de là, la véritable question qui se cache derrière la question manifeste serait plutôt la suivante : Que faire en vue de cette industrialisation ? Comment faudrait-il procéder pour la rendre effectivement bénéfique, source de création d’emploi et de richesses partagées de manière équitable dans notre région, grâce notamment à une mutualisation des initiatives ? Comment pouvons-nous agir ensemble pour accélérer l’industrialisation de notre région et de nos pays respectifs ?

Nous n’avons pas une réponse toute faite et complète à cette interrogation, mais pouvons y apporter notre part en qualité de manager d’un établissement public à caractère scientifique et technique chargé de procéder à l’évaluation de la conformité tierce partie, en l’occurrence l’inspection, la certification, la métrologie, les essais ou analyses, sur la  base des standards nationaux, régionaux et/ou internationaux. Notre propos de ce jour va s’articuler ainsi en introduction sur quelques observations générales d’abord, au sujet de l’industrialisation. Ensuite, nous pourrons formuler quelques recommandations pratiques sur la manière dont l’activité de normalisation et d’évaluation de la conformité pourrait venir en soutien à l’industrialisation nationale et régionale, ainsi que favoriser l’accomplissement des avantages qui en sont attendus.

  1. TYPES D’INDUSTRIALISATION

Le concept d’industrialisation renvoie à plusieurs dimensions. En effet, il est utilisé à saturation pour parler par exemple d’industrie d’extraction, d’industrie minière, d’industrie manufacturière, d’industrie du bois, d’industrie agroalimentaire, d’industrie aéronautique, électrique, automobile ; d’industrie des boissons et tabacs, d’industrie des déchets, d’industrie pétrolière, d’industrie cimentière, d’industrie des télécommunications, d’industrie des médias et, même, figurez-vous,  d’industrie du mensonge !

En première approximation, l’industrie couvre les activités économiques qui combinent les facteurs de production (installations, approvisionnements, savoir-faire, force de travail, etc.) en vue de produire des biens matériels destinés au marché. L’industrie crée à l’évidence de la valeur dans les produits et services (cas de l’industrie transformatrice du bois en grume, de l’industrie agro-alimentaire et bien d’autres). Les infrastructures de production n’ont pas un impact seulement chez le producteur, mais également chez les fournisseurs et les services qui les soutiennent en réseau. Elles sont créatrices d’emplois généralement mieux rémunérés par rapport au secteur agricole pur, à titre indicatif.

Pour mesurer le degré d’industrialisation, on utilise la part de valeur ajoutée manufacturière dans la formation du PIB et suivant ce critère, l’Afrique est la région la moins industrialisée du monde, cette contribution étant à peine de 1,8 % de son niveau mondial en 2014.

Nous notons 3 types traditionnels d’industrialisation:

  • Industrialisation par l’intégration sectorielle ;
  • Industrialisation par la promotion des exportations ;
  • Industrialisation par substitution d’importations
  •  Avec l’industrialisation par l’intégration sectorielle, inspirée par Schumpeter (théorie des chaînes de « déséquilibres créateurs ») et formalisée par Hirschman (les effets amont-aval), un développement industriel diversifié est visé à travers un modèle intégrateur. Celui-ci mise sur les industries les plus « industrialisantes», qui permettent de modifier structurellement les fonctions de production et augmentent la productivité de l’ensemble de l’économie par le jeu de la remontée des filières dans leur environnement local. Il s’agit généralement d’industries lourdes, génératrices d’effets d’entraînement. On retrouve ainsi parmi les branches les plus industrialisantes : celles qui donnent aux autres le capital technique (sidérurgie, métallurgie, constructions électriques) ; la chimie minérale (souffre, engrais) et la chimie organique (caoutchouc, plastiques). Ainsi, le secteur énergétique par exemple peut susciter des innovations en tant que fournisseur à la pétrochimie et aux industries grosses consommatrices d’énergie.

 En raison de l’allocation forte imposée des facteurs de production entre les secteurs, qui ne serait obtenue du capital privé porté naturellement vers l’investissement dans les secteurs proches du marché des biens de consommation et à rentabilité immédiate, c’est l’Etat par voie de conséquence qui se trouve au cœur de ce modèle et de la politique volontariste qu’elle inspire, gage certainement d’indépendance nationale, mais difficile à mettre en œuvre comme pu l’expérimenter l’Algérie après 1973 avec son plan d’industrialisation sur la base du financement de la rente pétrolière et gazière.

  • S’agissant de l’industrialisation par la promotion des exportations, elle permet de jouer sur la disponibilité localement du facteur travail à bas coût et/ou des ressources naturelles, minières, énergétiques ou agricoles pour l’économie du pays du joug du chômage et du sous-développement.

 Le cycle vertueux consiste ici pour un pays à mettre à profit sa main-d’œuvre à bon marché et docile pour produire et exporter des produits éventuellement à faible valeur ajoutée, d’entreprendre ensuite une diversification par branche et une remontée de filière vers la production de biens à plus forte valeur ajoutée (biens de consommation durables, biens intermédiaires et biens d’équipements). La Chine et de nombreux autres pays émergents tels que l’Inde, l’Afrique du Sud, le Nigeria ou  le Brésil ne sont pas loin d’avoir adopté ce modèle qui présente plusieurs avantages selon ses promoteurs :

  • Production à moindre coût par rapport à une industrie protégée ;
  • Gains en devises supérieurs par rapport à ceux procurés par la réduction des importations ;
  • Accès aux chaînes de valeur permettant l’extension de la production nationale et générant des économies d’échelle, des effets d’apprentissage et une compétitivité accrue ;
  • Entretien d’un contexte favorable à l’attraction des flux d’investissements directs étrangers (IDE), propulseurs potentiellement de croissance.

Contrairement aux prescriptions de maintes théories courantes, ce n’est pas l’ouverture préalable au commerce international qui a favorisé l’émergence des pays asiatiques comme la Corée du Sud, de Taïwan, du Japon après la Seconde Guerre Mondiale ou de la Chine. Ces pays ont procédé plutôt par l’insertion économique progressive et organisée autour d’objectifs précis. En outre, aucun de ces pays s’étant engagé dans a promotion de ses exportations n’a choisi de l’intérieur la régulation par le marché. En revanche, ils ont tous accordé une importance au pilotage de l’Etat dans la diversification industrielle, la protection de l’industrie nationale naissante et la montée en gamme.

  • En ce qui concerne l’industrialisation par substitution d’importations, elle consiste dans version formalisée en une politique économique fondée sur un effort délibéré et systématique visant à remplacer les importations par la production nationale.

Elle s’inscrit à l’origine dans une volonté d’indépendance à l’égard des firmes globales, s’opposant en cela au modèle promouvant l’exportation comme support à l’industrialisation. On dit de cette politique (ISI), qu’elle serait une politique d’appauvrissement du voisin lorsqu’elle prend une allure agressive et répond à une volonté.

Quatre éléments majeurs sont fondateurs de ce modèle :

  • Élargissement du marché intérieur grâce à une réforme agraire et une redistribution des revenus ;
  • Mise en place de quotas, des droits de douane et de taux de change multiples permettant de filtrer les importations en fonction des besoins prioritaires de l’industrie nationale ;
  • Encouragement de l’investissement national par des taux favorablement bonifiés et une politique budgétaire active ;
  • Contrôle des investissements étrangers avec une limitation stricte de la sorte des profits.

Trois observations critiques, au minimum, sont formulées contre la politique de substitution des importations :

  • Sacrifice de l’agriculture, avec la priorité accordée à l’industrie ;
  • Spécialisation sous-optimale, les industries mises en place étant le plus souvent peu compétitives et surdimensionnées par rapport à la demande locale, sinon inversement incapables en réalité de couvrir cette demande ;
  • Développement conséquent des comportements rentiers à l’abri de la protection tarifaire.

Cette politique reproduit de fait la dépendance qu’elle prétend formellement combattre.

  1. Apport d’un Organisme d’Evaluation de la Conformité, tierce partie dans la démarche d’industrialisation  

A la question de notre point de vue capitale de savoir « Que faire pour accélérer l’industrialisation de notre région et en particulier de la RDC», dont nous sommes citoyen, nous avions d’emblée souligné en introduction qu’il pouvait y avoir plusieurs réponses selon les angles de vue, et nous avons commencé à le montrer ci-dessus. Mais, nous nous voudrions surtout, à présent, indiquer sommairement l’apport possible de la normalisation et de l’évaluation de la conformité dans ce processus d’industrialisation, dont l’importance ne fait pas de doute. En effet, nos pays ont certainement besoin de politiques économiques audacieuses. Ils ont besoin de créer des tissus industriels d’entreprises locales, susceptibles de soutenir leur croissance économique et leur développement.

En prenant la RDC comme sujet particulier de notre attention, nous relevons l’existence d’un marché potentiel constitué de 102 462 500 habitants suivant les dernières projections, publiées en 2020 notamment par Atlas du Congo Profond. Le Pays demeure pourtant un semi désert industriel, avec des poches industrielles faisant  exception ici et là, notamment à Kinshasa, au Kongo Central, dans le Haut Katanga, au Nord-Kivu et Sud-Kivu, dans la Province agricole de l’Equateur et dans le Lualaba, entre autres. On compte ici et là des entreprise  en arrêt d’activités ou fermées sans lendemain immédiat, en contraste avec les potentialités présumées d’un pays sous-continent et réputé « scandale géologique », et potentiellement « scandale agricole », qui continue malgré tout d’intéresser plusieurs opérateurs industriels.

Dans le secteur minier, à titre illustratif, la RDC regorgé d’une diversité des produits pouvant favoriser une diversité d’usages par leur transformation. Prenons ainsi en exemple le cuivre exporté aussi bien en minerai brut, en concentrés de tout genre, en métaux plus ou moins impurs, fournisseur des cathodes immensément de haute teneur et recéleurs de nombreux sous-produits. Dans le secteur des hydrocarbures, notre industrie pétrolière est restée longtemps en hibernation. Pire pour l’industrie gazière qui se cherche encore. Bref, que de potentialités industrielles dans ce pays comblé de ressources naturelles, l’eau douce comprise, qui vont constituer un enjeu majeur pour le futur de l’humanité ! Le pays dispose de nombreux atouts propices au développement d’un véritable tissu industriel (main d’œuvre abondante et bon marché, grande variété de ressources naturelles, notamment en potentiel hydroélectrique.

Dans la mise en œuvre de la politique industrielle pour faire de la RDC un pôle de développement économique et industriel, l’application des principes internationaux sur la normalisation et la métrologie légale fait partie du champ de bataille. Ces principes, à côté d’autres outils s’inscrivent précisément dans les domaines d’activité de l’Office Congolais de Contrôle, évaluateur public tierce partie de la conformité en RDC comme indiqué plus haut.

Pour définir la contribution possible de mon organisme en rapport avec les enjeux relatifs à la qualité de la production industrielle et commerciale, je m’en vais présenter brièvement quelques exigences techniques susceptibles de soutenir une politique d’industrialisation et du commerce d’exportation performante fondés sur la qualité des produits destinés au commerce. Commençons à cet effet par rappeler ce que recouvre le concept de « qualité ».

 C’est quoi donc la « QUALITE » et Quelles sont ses exigences ?
Suivant la norme ISO 9000:2015, la qualité des produits et services d’un organisme est déterminée par la capacité à satisfaire les clients, par l’impact prévu et imprévu sur les parties intéressées pertinentes. La qualité des produits et services inclut non seulement leur fonction et leurs performances prévues, mais aussi la valeur et le bénéfice perçus par le client. Elle suppose une orientation et une culture qui se traduisent par un comportement, des attitudes et des processus générateurs de la  valeur par la satisfaction des besoins et attentes des clients et autres parties intéressées pertinentes.

La qualité exige notamment la mise en place d’un système d’assurance qualité en conformité avec les normes pertinentes de la série ISO 9000. Et ce système doit idéalement être certifié. Il doit être orienté vers l’amélioration continue. La qualité permet à l’entreprise de dynamiser ses ventes, d’améliorer sa rentabilité et de réduire les risques industriels à tous égards, notamment sur le plan judiciaire.

 La qualité commande de recourir à la stylistique (design), qui ne se réduit pas à l’esthétique de présentation mais s’étend à l’optimisation de la qualité du produit par l’amélioration du confort, de la sécurité, de la facilité d’utilisation.

La qualité est un facteur de succès face à la standardisation des produits et l’exacerbation de la concurrence imposant à l’entreprise exportatrice de se différencier. Il ne suffit pas que le produit soit d’un niveau élevé voire excellent de performance, encore faut-il qu’il satisfasse correctement   les besoins de consommateurs. La qualité ne se décrète pas. Elle doit être démontrée, notamment par l’évaluation de la conformité.

Les démantèlements tarifaires au niveau mondial et continental vont promouvoir la qualité et le prix comme seuls critères de sélection des marchandises aux frontières. OCC est disposé à accompagner les producteurs demandeurs de compétitivité, les opérateurs d’échanges commerciaux avides de facilitations pour autant qu’elles soient régulières, les consommateurs demandeurs des produits plus performants au moindre coût possible.

AVANTAGES DE LA NORME POUR LES AGENTS ECONOMIQUES

  • Un instrument d’une politique de différenciation ;
  • Un outil de mise en compatibilité entre produits et entre systèmes.
  • Une stimulation pour la création d’un produit ;
  • Un vecteur d’innovation ;
  • Un instrument objectif de valorisation du produit ;
  • Une fixation des exigences des clients ;
  • Un instrument de valorisation de la qualité ;
  • Un instrument de fidélisation des clients ;
  • Un instrument d’orientation de la demande.

La norme, instrument majeur de l’Office Congolais de Contrôle en tant qu’établissement public à caractère scientifique et technique chargé de l’évaluation de la conformité tierce partie  n’a pas que des avantages pour les agents économiques. En effet, elle est un instrument de pouvoir et de compétitivité. Elle peut jouer un rôle stratégique en facilitant ou en interdisant l’accès à un marché, la diffusion d’un produit. Elle peut constituer une menace d’exclusion du marché et/ou une barrière sciemment entretenue d’accès au marché, bref une barrière voulue à l’entrée. OCC est engagé au plan international et régional dans les travaux relatifs à la normalisation par son appartenance notamment à l’ISO, à l’ARSO/ORAN, au COMESA et spécialement, dans le présent contexte, par son partenariat avec SADCSTAN ainsi que SADCAS.

La République Démocratique du Congo, à travers l’Office Congolais de Contrôle, soutient la stratégie régionale relative à la signature des Protocoles d’Accord de Collaboration entre organismes homologues dans les domaines de la normalisation et l’évaluation de la conformité. Des initiatives ,qui ont  abouti et d’autres en voie d’aboutissement ,ont été prises ainsi entre OCC et les organismes homologues de la région  notamment de la Zambie, du Zimbabwe, de l’Angola, de l’Afrique du Sud.

Grâce aux protocoles d’accord signés entre ces organismes et OCC, un certificat de qualité délivré dans un pays tiers d’exportation vaut automatiquement dans le pays d’importation moyennant la reconnaissance mutuelle.

Nous pourrons revenir avec notamment quelques recommandations pratiques en particulier au niveau national.

Je vous remercie pour votre aimable attention.

Arrêt sur images :

Gaby LUBIBA MAMPUYA, DG OCC, à la conférence publique de la SADC tenue à Kinshasa sur l’industrialisation régionale.

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